En 2018, 10% des français possédaient une résidence secondaire* (soit, 3.3 millions d’habitations). Avec la crise sanitaire, l’engouement s’est accéléré. Désormais, 1 français sur 4** envisage d’acheter ce type de maisons ! IGC, constructeur de maison vous explique l’intérêt de faire construire une résidence secondaire.
*Source : Insee
**Source : Sondage Orpi réalisé en juillet 2020
Le confinement a permis à chacun de réévaluer ses priorités. Ainsi la notion de résidence secondaire a revêtu un nouveau sens, suscitant un intérêt grandissant. En effet de plus en plus, les acheteurs ne voient plus la résidence secondaire comme une maison de vacances mais bel et bien comme un pied-à-terre facile d’accès, facile à vivre, et pensé pour le télétravail.
La préférence des français reste le bord de mer (pour 54% des personnes interrogées**), tandis que 25% préfèrent s’orienter vers un habitat davantage à la campagne, et seulement 10% dans les villes.
Faire construire sa résidence secondaire dans le sud-ouest
IGC, constructeur maison depuis 40 ans, vous propose de construire votre résidence secondaire dans tout le grand sud-ouest, région la plus recherchée actuellement.
Que ce soit en Gironde, dans les Landes, au Pays basque, en Charente-Maritime, IGC vous guide, et vous conseille, dans votre recherche. En outre, en tant que constructeur maison, nous vous proposons de nombreux types de maisons répondant parfaitement aux critères des Plans Locaux d’Urbanisme, avec un réel savoir-faire dans l’architecture régionale, et dans l’accompagnement, notamment pour votre projet de construction maison à distance, la spécificité lorsque que l’on souhaite faire construire sa résidence secondaire.
Les avantages
Faire construire une résidence secondaire présente l’avantage d’élargir son patrimoine immobilier, qui plus est dans une région où la revente, surtout en bord de mer, ne peut être qu’avantageuse. Mais avant de songer à la plus-value réalisée, les bénéfices de faire construire sont nombreux :
- Une maison neuve ne nécessite aucun travaux de rafraîchissement ou de rénovation (difficiles à gérer surtout quand on n’habite pas sur place)
- Une maison plus économe, énergétiquement performante, dotée de tout le confort et de matériaux à la pointe de la technologie
- Une maison dont vous suivez, à distance , les avancées pas à pas, grâce à une expérience reconnue du constructeur
- Une maison qui peut vous apporter des revenus locatifs réguliers
Les régions dans lesquelles nous œuvrons présentent toutes un réel intérêt. Au bord de l’Atlantique, comme dans les arrière-pays, c’est à toutes les saisons que vous pouvez vous ressourcer, loin du tumulte des grosses agglomérations. Le grand sud-ouest ne connaît pas les frimas de l’hiver. Avec leur climat, les départements concernés offrent une douceur de vivre au quotidien. Et quel bonheur de rentrer chez soi, se lover dans son canapé, ou profiter de sa terrasse, sans les inconvénients et le côté impersonnel liés aux chambres d’hôtel, ou aux appartements loués pour l’occasion. Une résidence secondaire, c’est un deuxième « home sweet home ».
Lors de la revente d’une résidence secondaire détenue depuis moins de 30 ans, la taxe sur la plus-value s’élève à 36.2%.
Les frais à prévoir
Posséder une résidence secondaire n’acquitte pas le propriétaire des taxes foncières, d’habitation et autres impôts locaux. Que le logement soit occupé ou non, les taxes doivent être payées.
Par ailleurs, à moins de profiter du crédit d’impôt prévu par la Loi Pinel, une maison secondaire ne présente aucune exonération fiscale. Sauf aux deux conditions suivantes cumulativement remplies :
- Si vous louez une ou plusieurs chambre(s) d’hôtes (chambres meublées situées chez l’habitant en vue d’accueillir des touristes pour une ou plusieurs nuitées. La location est assortie, au minimum, de la fourniture du petit déjeuner et du linge de maison. L’accueil est assuré par l’habitant)
- Et que l’ensemble des loyers encaissés ne dépassent pas 760 € par an.
Si vous souhaitez louer votre résidence secondaire, quand vous n’y êtes pas ne serait-ce que quelques jours par an, les loyers et charges perçus doivent être déclarés pour être ensuite soumis à l’impôt sur le revenu et assujettis à la CSG et autres prélèvements sociaux.
La location saisonnière étant nécessairement meublée, les loyers perçus doivent être déclarés dans la catégorie des bénéfices industriels et commerciaux (« BIC ») comme pour les locations meublées de longue durée. Il existe deux régimes déclaratoires : le régime forfaitaire et le régime réel.
Si vous louez une location saisonnière « classique » (c’est-à-dire qui n’est ni un gîte rural classé, ni un meublé de tourisme classé, ni une chambre d’hôtes), vous bénéficiez automatiquement et sans formalité :
- Du régime forfaitaire si vos recettes ne dépassent pas 72.600 € par an : c’est très fréquemment le cas
- Sur ces recettes, vous bénéficiez d’un abattement forfaitaire de 50 %, ce qui signifie que seuls 50 % de vos loyers et charges sont réintégrés à l’ensemble de vos revenus de l’année puis imposés.
Exemple en 2020 : vous louez votre résidence secondaire sur la côte atlantique et percevez, pour l’année 2020, 2.500 € de loyers et charges. Vous serez imposé sur (2.500 x 50 %) = 1.250 € qui seront réintégrés à vos revenus de l’année 2020 s’il s’agit d’une location saisonnière « classique ».